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 piti récapitulatif

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ben
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MessageSujet: piti récapitulatif   piti récapitulatif Icon_minitimeJeu 17 Avr - 10:27

Skateboard
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, Rechercher
Voir « skateboard » sur le Wiktionnaire.

Le skateboard, ou planche à roulettes , est composé d'un plateau sous laquelle sont fixés deux essieux (dits aussi trucks) permettant de maintenir sur chacun d'eux deux roues. Elle peut servir à se déplacer, mais surtout à réaliser des figures (tricks) de toutes sortes, en environnement urbain ou dans des parcs spécialisés, les skateparks. Le pratiquant de ces disciplines est dénommé skateur (ou skater du terme anglais).


Un skateboard moderne.Vers 1988, le skateboard revient une nouvelle fois à la mode. La discipline s'étant un peu essoufflée, l'innovation, facteur très important, est plus que jamais à l'ordre du jour. Des stars tels que Natas Kaupas ou Mark Gonzales voient très loin : les mains courantes, les rails, etc. Ils poussent leurs boards dans une nouvelle direction, plus folle. La pratique reste essentiellement urbaine, mais cette fois les skateurs utilisent au maximum la configuration de la ville. Si cette époque fait l'apanage de l'utilisation des rails (voir plus bas), la nouvelle génération de la fin des années 1980 montre également son niveau sur des gaps : des sauts d'espaces, de marches, etc.

Parallèlement, la pratique sur des rampes a de plus en plus de succès, devenant très vite à la mode.

Apparaissent Mike Carroll, Colin McKay, Salman Agah, des skateurs aujourd'hui moins médiatisés mais toujours en activité.

Entre 1992 et 1995, le skate met l'accent sur la technique, abandonnant quelque peu le côté esthétique. Cette époque verra l'émergence de centaines de nouveaux tricks : des flips (voir tricks), se créent et s'améliorent, on invente le switch (le fait de pratiquer avec la jambe opposée à celle d'appel, à l'envers en quelque sorte).

L'apparence du skateboard a elle aussi évolué. Celui-ci présente dorénavant des roues minuscules et des planches dites « allumettes ». D'un autre côté, peut-être dans une recherche implicite d'unité, les skateurs commencent à adopter un style propre, plus ou moins inspiré de la mode des surfeurs. Cette époque est appelée big pants, small wheels (« grands pantalons, petites roues »).

Après ces quelques années passées à parfaire leurs tricks (figures), les skateurs —imitant des stars comme Pépé Martinez— reviennent à leurs premières amours, s'emparant plus que jamais de la rue. Une nouvelle fois, les gros gaps et les handrails sont mis à l'honneur, couplés cette fois-ci à la toute nouvelle technique.

Si la rampe, très à la mode dans les années 1980, semble se marginaliser au début des années 1990, celle-ci voit finalement se dessiner un ciel radieux. C'est l'époque, de Danny Way (considéré par certains comme le « plus grand ramprider de l'Histoire » ou encore le « maître de la vert' »), mais aussi de Rune Glifberg, Bucky Lasek, Tony Hawk, Deedee, Biggiz, Zeymou, Tazir John Cardiel, Tony Trujillo, des célébrités ayant donné le goût de la « courbe » à des centaines de skateurs.

L'année 1998 verra le début du festival Jamie Thomas —du nom de son créateur, un skateur qui créa également la marque Zero Skateboards- toujours en vogue aujourd'hui.
Cette époque marquera également le début de la fin pour la multinationale du skateboard, « Powell Peralta ».

À partir de cette époque, et aujourd'hui encore, plusieurs styles différents se sont dégagés : skateurs techniques, fonceurs, etc. Aujourd'hui, la question qui se pose est de savoir ce qui compte le plus dans la discipline : le style ou la performance ? Cette question est encore moins évidente qu'il n'y paraît. En effet, si certains considèrent la pratique technique comme peu esthétique, d'autres au contraire ne peuvent concevoir technique et style séparément. Heureusement, aujourd'hui, cette question est plus source de diversification que de discorde.

Pour le moment, le skate, récupéré par la publicité et la mode pour son image « rebelle », se voit surexposé. Mais il est difficile de prévoir l'avenir. Le skateboard retombera-t-il dans l'oubli, ou, au contraire, prendra-t-il tellement d'importance qu'il en deviendra un jour un sport comme un autre ? Est-il envisageable qu'on aille un jour au skatepark comme au stade, pour s'entraîner ?





c des connerie pour moi le skate c du surf sur terre et on doit sa a tony alva !!!!!!!!jay adams(qui é en tole pour trafic de drogue lol) et stacey peralta !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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MessageSujet: Re: piti récapitulatif   piti récapitulatif Icon_minitimeJeu 17 Avr - 10:30

les trick jvous éxpliqe g pri larticle sur wikipédia car il a lair complet é g pa envie de réécrire


Les flips
Entrer un flip consiste à s'élever dans les airs ( ollie), à faire tourner le skate d'un façon prédéfinie et à retomber dessus. Les flips peuvent s'effectuer à l'arrêt ou tout en roulant. Il sont également appelés «tricks de flat», car ils peuvent se faire sur un terrain plat.

Il existe des dizaines de flips différents — le heelflip, le fingerflip, le pop shove-it,... — le plus célèbre étant sans doute le kickflip. La combinaison des flips de base donne des flips plus complexes tels que le varial flip (combinaison d'un kickflip avec un pop shove-it), le 3-6 flip (combinaison d'un kickflip avec un 360 pop shove-it) et il y a aussi des flip de difficulté plus élevé comme le hardflip, l'impossible, le Casper Kickflip, le varial heelflip,le diary flip( consistant a faire un double 3-6 flip, ou 720 flip en fakie, trick inventé par chris haslam) etc... On peut faire tous ces tricks en divers position comme en fakie en regular en nollie ou en ollie switch (différente possition sur le board)etc.

Pour bien réussir un flip, il faut des heures d'entraînement et une technique bien développée, la plus grande difficulté étant généralement de retomber sur la planche une fois la figure effectuée.

L'objectif étant ensuite de rentrer ces figures sur des gaps de plus en plus difficiles et en les combinant parfois à d'autres figures(flip-lipslide,front 180 nosegrind, frontside flip.....)


Les grabs
Un grab consiste à s'élever dans les airs, à saisir sa planche avec une — ou les deux — mains tout en la laissant en dessous des pieds, puis à retomber sur le sol. Nous pouvons citer le nosegrab, le tailgrab, le indy, le melon grab et d'autres grabs bien plus difficiles comme le japan, le benihana, le cannonball ou le christ air.


Les slides et les grinds
Il s'agit des tricks que l'on effectue sur une barre (un rail), un curb, ou tout autre pièce de mobilier urbain s'y prêtant. Ces tricks sont ainsi appelés tricks de « street ». Le but est de sauter, d'atterrir sur la cible, de se laisser glisser dessus, puis de retomber sur la terre ferme.

Lorsque le contact entre le rail et le skateboard s'effectue au niveau de la planche ou des roues (p.e. : le boardslide ou le bluntslide) on appelle ça un slide. Lorsque ce contact se passe au niveau d'un ou des axes (par exemple le nosegrind), il s'agira d'un grind. Lorsqu'on combine les deux (axe(s) et planche touchant) on parlera également d'un grind (p.e. : le feeble(-grind)).

Il existe une multitude de grinds et slides. Citons :

le 50-50, le contact entre le skate et le rail se fait au niveau des deux axes en même temps.
le nosegrind, le contact se fait au niveau de l'axe avant.
le 5-0 (prononcez /faïve-ô/), le contact se fait au niveau de l'axe arrière.
le boardslide et le lipslide, le contact se fait au niveau de la planche, entre les deux axes. Le lipslide lui consiste à faire une rotation en backside ou en frontside de 90° au dessus d'un obstacle et de se positionner en boardslide, et plus précisement en switch boardslide.
le darkslide, figure inventée et popularisée par Rodney Mullen, la planche fait un demi-flip et le slide se fait donc sur le grip de la planche.

Les manuals
Les manuals (ou wheelings) consistent à rouler non plus sur les quatre roues mais sur deux seulement. Si on roule uniquement sur les roues arrière, on parle tout simplement de manual, et si on se déplace au contraire sur les roues avant, on parle alors de nose manual. Il existe également des manuals sur une seule roue, (one-wheel manuals) ainsi que des manuals effectués avec seulement un pied sur le skate (one-foot manuals). Les wheelings sont souvent combinés avec d'autres tricks, qui sont executés avant ou après : le flip to wheeling est un kickflip après lequel on atterrit sur les deux roues arrières tout en gardant l'équilibre. Le manual to kickflip out est un manual suivi d'un flip (après lequel on atterrit alors bien sur quatre roues), lancé depuis la position de wheeling. À partir de ces concepts, on peut faire de multiples combinaisons (kickflip to wheeling to kickflip out par exemple).


Positions Il existe deux positions de base en skateboard : regular et goofy. La première consiste à mettre le pied gauche au milieu de la planche et le pied droit à l'arrière, la seconde le contraire. Chaque skater a sa position de prédilection, le choix étant instinctif. Etre goofy ou regular est souvent comme être gaucher ou droitier mais beaucoup de skaters gauchers sont regular et inversement. Il y a également plusieurs façon de pousser, pousser en mongo signifie pousser en gardant le pied arrière sur la planche, cette façon de pousser peut être inconfortable, en général on pousse avec le pied arrière en laissant le pied avant sur la planche.

Pour augmenter la difficulté d'une figure, on peut essayer de l'effectuer en "switch". Etre en switch signifie que l'on se positionne en regular quand on est goofy, et vice-versa. Appelé au début "opposite", ou encore "switch stance", cette façon d'effectuer des tricks s'est popularisé au début des années 90.

Il existe deux autres position en dehors du normal et du switch, le nollie et le fakie.

Le fakie consiste à rouler avec sa position de base, mais dans le sens inverse. Le nollie consiste à rouler en switch, dans le sens inverse également.

Le fait qu'il y ai 4 positions possibles multiplie donc par quatre le nombre de tricks possibles, c'est ce qui fait la grande diversité des figures de skateboard. De plus les quatre positions ne changent pas seulement la position des pieds et du corps avant d'effectuer la figure, cela s'accompagne souvent d'un style, d'une façon différente de faire la figure.


Vocabulaire
Le vocabulaire employé pour définir les tricks dépend énormément de l'endroit où l'on se trouve et de la génération de skaters à laquelle on appartient. La plupart des tricks ont ainsi plusieurs noms, et certains noms plusieurs prononciations.

Taper, entrer , rentrer ou replaquer un trick veut dire l'effectuer correctement, du début à la fin, c'est à dire que l'on fait le mouvement et que l'on retombe sur sa planche convenablement après, éventuellement avec la possibilité de continuer à rouler. Particulièrement, on dit également replaquer un ollie.
Replaquer (un flip particulier) consiste à s'élever dans les airs et à faire tourner la planche selon le mouvement correspondant. Généralement, dire que l'on sait lancer tel ou tel flip signifie que l'on ne sait pas encore retomber sur sa planche convenablement après l'avoir fait.
Popper signifie réussir un trick le plus haut possible, quand une figure est bien poppée c'est qu'elle a été élèvée assez haut en l'air.
Le manual se prononce de la facon dont il ecrit en francais comme en anglais.
Le 50-50 se prononce soit à l'anglaise (fifty-fifty), soit à la française (cinquante-cinquante).
Le kickflip est souvent appelé simplement « flip ».
Le heelflip est parfois appelé simplement « heel ».
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